Alchimie sacrée
Comment diriger la pensée qui précède l’énergie, qui précède le son, qui précède la substance du souffle lié au sang ?L’énergie se lie au souffle par les cinq sens en tant que sensation pour l’être. Le souffle lié à l’odorat, au son, à la vue, au toucher et au goût produit la salivation qui peut être dirigée mentalement vers le ventre. L’énergie se condense ainsi dans le réservoir sous le nombril. Pour augmenter l’effet on imagine l’odeur du riz cuit, puis le son de sa cuisson, la couleur et le crépitement de la cuisson avec les bulles, ensuit le toucher sur la langue et le goût. La salivation qui descend alors accompagnée de la visualisation de l’énergie qui va dans le ventre, est chargée de bioélectricité qui va se condenser en ce lieu-dit sous le nombril. Tout en faisant cela on lie le souffle à cette pensée visualisatrice pour concocter une véritable cuisine intérieure. A force de pratiquer cet exercice on a un véritable plat de riz cuit qui se trouve dans le point VC6 sous le nombril. C’est un océan de riz cuit qui peut nourrir la terre entière. Le riz cuit est exactement à l’image du pain quotidien chrétien dont l’origine égyptienne (Osiris) démontre une particule élémentaire qui existe dans l’air. En respirant l’odeur du pain frais céleste on nourrit le principe vital qui se met en réserve dans le ventre. En réalité il ne s’agit ni de riz, ni de pain, mais de la substance vitale qui se trouve dans l’air et dont nous absorbons la quantité de dix kilos par jour (au repos). Le pain quotidien n’est pas du pain matériel, ou du moins pas celui qu’on croit, car matière il y a. Chaque litre d’air pèse environ 1.29 grammes. Il existe donc une matière invisible que nous absorbons en quantité chaque jour mais pour laquelle nous n’avons aucune reconnaissance. La nourriture absorbée par la bouche est plus dense en tant que matière et à tendance à rester plus longuement fixée dans le corps, mais la quantité d’air (en poids) inhalée est bien plus importante.
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