Pensée positive et guérison

Guérison

Certains scientifiques disent que les pensées négatives (nocebo) sont souvent responsables de nos maladies et que les pensées positives (placebo) contribuent à la guérison.

La quantité de pensées négatives est souvent plus fréquente que celle des pensées qui sont positives, paraît-il. Ceci dit, je suis persuadé que les pensées positives sont plus puissantes, car sinon nous serions tous déjà morts. De plus je suis persuadé que le mal est au service du bien et qu’une petite pensée de bienveillance peut changer le cours d’une journée.

Cette habitude que nous avons de critiquer, juger et médire, est donc certainement la première chose à changer dans nos vies.

Nous avons aussi l’habitude de spéculer, supposer et d’affirmer que nous connaissons des vérités, mais en fait il ne s’agit ni plus ni moins d’un besoin de reconnaissance.

Ce qu’on sait, savoir qu’on le sait et ce qu’on ne sait pas, savoir qu’on ne le sait pas, c’est savoir vraiment.

Les plus grands spécialistes de la science médicale moderne ont un pouvoir absolu sur les masses, qui leur confère une autorité en matière de santé. En réalité ces gens sont vraiment capables de vous expliquer comment vous êtes malades, comment les choses se passent mal pour vous et ils peuvent vous aider à recouvrer la santé, mais en aucun cas ils ne sont capables de vous expliquer la guérison.

Ce qu’on appelle l’effet placebo est le pouvoir de l’esprit sur la matière. Ceci ne rapporte pas d’argent à l’industrie pharmaceutique, qui n’a pas intérêt à ce qu’on utilise cette possibilité.

Dans la philosophie des médecines traditionnelles anciennes, on explique la guérison de façon simple, il s’agit de l’action de la nature, et c’est tout.

En Qi gong nous utilisons l’esprit pour influencer la matière et favoriser la guérison. Il est clair que ces méthodes ne sont jamais aussi performantes et rapides que celles qui préconisent de prendre des médicaments chimiques. La chimie a l’avantage de la rapidité et d’une efficacité foudroyante sur l’aspect visible. Cela peut s’avérer utile, mais dans les maladies chroniques la chimie ne peut rien faire, et pourtant on s’y accroche facilement. De plus les effets secondaires peuvent créer d’autres maladies.

La colonisation du temps par le système économique nous empêche d’avoir recours à la nature pour guérir. Comprenant cela nous pouvons commencer à changer petit-à-petit. Nous avons besoin de la nature pour vivre, mais si nous écoutons certains chimistes de l’industrie pharmaceutiques, nous pourrions vivre dans des boîtes en plastiques. Ok, mais de quelle façon ?